Rahhh Temps pourris ...

Lundi matin, je suis retourné chez le garagiste pour un problème de clignotants. Disons qu'ils étaient passés d'un rythme tranquille reggae en un gros black métal bien véloce. Bon forcement la conversation avec le garagiste fut épique comme la dernière fois. Quand il tente de démarrer le scooter (et qu'il n'y arrive pas forcement), je lui fais comprendre que la batterie est à plat et qu'il faut démarrer au kick. La sa réponse est immédiate, il faut changer la batterie, cela vient de la ... ben non la batterie n'a jamais fonctionné depuis que j'ai le scooter, c'est le faisceau qui doit être atteint. Enfin bon, discussion aussi inintéressante qu'incompréhensible des deux côtés, mais de toute façon ce n'est pas de cela que je veux parler ici.

Aujourd'hui alors que nous sommes en plein mois de mai, il fait un temps pourris avec la pluie qui tombe averse. N'ayant pas encore récupéré mon scooter, j'ai voulu prendre le métro. Une fois à la station, surprise, environ 350 personnes attendent tranquillement derrière les composteurs. De l'autre côté, le personnel de la station avec des mégaphone demandé aux gens d'attendre pour je ne sais quelle raison. Comme j'avais un cours je ne pouvais pas attendre, j'ai donc dû me résoudre à prendre mon vélo sous la pluie. Au bout des 12Kms qui me séparent de mon boulot mes vêtements étaient détrempés, même les sous vêtements étaient humides. Alors, je sais que les Japonais prennent un parapluie lorsqu'ils font du vélo sous la pluie, mais à vrai dire, vu à la vitesse où ils vont quand ils font ça, il m'aurait fallu deux jours pour atteindre mon bureau.

Résultat des courses, je me suis baladé toute la journée dans short rouge, gentiment prêté par un français travaillant ici. Je pense que mon directeur de thèse avec qui j'avais réunion se marre encore. Pour faire sécher mes vêtements, j'ai dû emprunter un ventilateur. Mon bureau ressemblait à une caravane en camping avec les vêtements qui sèchent ... Il ne me manque plus que la guitare ...